Il est 19 heures, je reste assise dans mon bureau en prenant conscience que tu ne seras pas là demain mais non plus pour quelques mois. Je ressens tout d’un coup comme un vide et une sorte d’indéfinissable panique m’envahit…
Je me souviens tout à coup que le repos s’impose à toi pour donner, dans quelques mois, naissance à cette petite fille. Et là, je me sens beaucoup mieux !
Je me souviendrai de ta voix enthousiaste, de la joie de partager ce que l’on a retenu, craint, apprécié, les inattendus, l’optimisme de l’un et l’inquiétude de l’autre. Je me remémorerai de ton soulagement lorsque tu trouves la solution et de ta fierté d’avoir préparé si longuement cet événement avec Lucie.
Ce soir, tu peux être sereine, tes dossiers sont entre les mains de Carole, une autre fée. Et comptes sur moi pour partager à distance avec toi la suite de l’organisation de l’université d’été, la fête sera partout, dans les salles, les couloirs, dans les ateliers. Sans nul doute, ton indéfectible soutien aura contribué au succès de cette nouvelle université d’été, édition 2013, j’en suis sûre.
Je m’associe au billet de Malini… l’aventure continue et tu es dans toutes nos pensées, Sylvie. La fête sera encore plus belle pour toi.
La petite « Prunille » est arrivée entre temps … Oui Sylvie tu es avec nous par la pensée.